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Auteur Martin HENGEL |
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Titre : LA CRUCIFIXTION DANS L'ANTIQUITE ET LA FOLIE DU MESSAGE DE LA CROIX Type de document : texte imprimé Auteurs : Martin HENGEL Editeur : Paris : CERF Année de publication : 1981 Collection : LECTIO DIVINA num. 105 Importance : 220 p. Catégories : Croix
PASSIONNote de contenu : L'habitude a peu à peu émoussé notre sensibilité, mais pour l'homme de l'Antiquité, la crucifixion était la « mors turpissima », à la fois le plus atroce et le plus infamant des supplices, celui que, dans l'Empire romain, on n'infligeait qu'aux esclaves, aux hors-la-loi ou aux rebelles des lointaines provinces.
Dans ce contexte, le message chrétien primitif sur le Messie crucifié était véritablement un scandale — une pierre d'achoppement — au point que certains milieux chrétiens (les Docètes) tentèrent d'en éliminer la réalité.
Pour la première fois, grâce à cette étude , nous avons accès directement à l'ensemble des textes d'origine grecque ou latine qui témoignent de la façon dont l'Antiquité comprenait la crucifixion.
Après une analyse historique, l'auteur nous montre, en une seconde partie plus théologique, comment est née l'idée même de mort expiatoire — idée dont on retrouve des analogies chez les Grecs et les Romains, mais qui, liée à l'annonce de la résurrection, forme la radicale nouveauté de la prédication de l'Évangile.
Introduction : "Mors turpissima crucis".
Première partie. - La crucifixion dans l'Antiquité.
Chapitre I. - La "folie" du Fils de Dieu crucifié.
Chapitre II. - Prométhée et Dionysios : le Dieu "crucifié" et le Dieu "crucifiant".
Chapitre III. - Le docétisme ou l'élimination de la "folie" de la croix.
Chapitre IV. - La crucifixion : forme d'exécution "barbare" de la plus haute cruauté.
Chapitre V. - La crucifixion : supplice suprême chez les Romains.
Chapitre VI. - La crucifixion et les citoyens romains.
Chapitre VII. - La crucifixion comme châtiment des étrangers séditieux, des criminels et des brigands.
Chapitre VIII. - Le supplice des esclaves.
Chapitre IX. - Le crucifié comme martyr national et la terminologie métaphorique et philosophique.
Chapitre X. - La crucifixion dans le monde de langue grecque.
Chapitre XI. - La crucifixion chez les Juifs.
Chapitre XII. - Récapitulation.
Deuxième partie. - La mort expiatoire de Jésus par "substitution".
Chapitre I. - Question préliminaire d'histoire des religions.
Chapitre II. - L'origine de l'interprétation rédemptrice de la mort de Jésus.
Abréviations.
Bibliographie.LA CRUCIFIXTION DANS L'ANTIQUITE ET LA FOLIE DU MESSAGE DE LA CROIX [texte imprimé] / Martin HENGEL . - Paris : CERF, 1981 . - 220 p.. - (LECTIO DIVINA; 105) .
Catégories : Croix
PASSIONNote de contenu : L'habitude a peu à peu émoussé notre sensibilité, mais pour l'homme de l'Antiquité, la crucifixion était la « mors turpissima », à la fois le plus atroce et le plus infamant des supplices, celui que, dans l'Empire romain, on n'infligeait qu'aux esclaves, aux hors-la-loi ou aux rebelles des lointaines provinces.
Dans ce contexte, le message chrétien primitif sur le Messie crucifié était véritablement un scandale — une pierre d'achoppement — au point que certains milieux chrétiens (les Docètes) tentèrent d'en éliminer la réalité.
Pour la première fois, grâce à cette étude , nous avons accès directement à l'ensemble des textes d'origine grecque ou latine qui témoignent de la façon dont l'Antiquité comprenait la crucifixion.
Après une analyse historique, l'auteur nous montre, en une seconde partie plus théologique, comment est née l'idée même de mort expiatoire — idée dont on retrouve des analogies chez les Grecs et les Romains, mais qui, liée à l'annonce de la résurrection, forme la radicale nouveauté de la prédication de l'Évangile.
Introduction : "Mors turpissima crucis".
Première partie. - La crucifixion dans l'Antiquité.
Chapitre I. - La "folie" du Fils de Dieu crucifié.
Chapitre II. - Prométhée et Dionysios : le Dieu "crucifié" et le Dieu "crucifiant".
Chapitre III. - Le docétisme ou l'élimination de la "folie" de la croix.
Chapitre IV. - La crucifixion : forme d'exécution "barbare" de la plus haute cruauté.
Chapitre V. - La crucifixion : supplice suprême chez les Romains.
Chapitre VI. - La crucifixion et les citoyens romains.
Chapitre VII. - La crucifixion comme châtiment des étrangers séditieux, des criminels et des brigands.
Chapitre VIII. - Le supplice des esclaves.
Chapitre IX. - Le crucifié comme martyr national et la terminologie métaphorique et philosophique.
Chapitre X. - La crucifixion dans le monde de langue grecque.
Chapitre XI. - La crucifixion chez les Juifs.
Chapitre XII. - Récapitulation.
Deuxième partie. - La mort expiatoire de Jésus par "substitution".
Chapitre I. - Question préliminaire d'histoire des religions.
Chapitre II. - L'origine de l'interprétation rédemptrice de la mort de Jésus.
Abréviations.
Bibliographie.Réservation
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Titre : JESUS , FILS DE DIEU Type de document : texte imprimé Auteurs : Martin HENGEL Editeur : Paris : CERF Année de publication : 1977 Collection : LECTIO DIVINA num. 94 Importance : 150 p. Catégories : CHRISTOLOGIE
JESUSNote de contenu : A la Pâque de l'année 30, un juif galiléen fut cloué sur une croix à Jérusalem pour des visées messianiques. Environ vingt-cinq ans plus tard l'ancien Pharisien Paul adresse une lettre à la communauté messianique de Philippes et il cite une hymne concernant ce même crucifié, qui le présente comme un être "de condition divine" qui s'est dépouillé du "rang qui l'égalait à Dieu" pour se faire homme et souffrir sur la croix la mort des esclaves. La discordance qui existe entre la mort ignominieuse d'un criminel politique juif et cette confession de foi qui présente le supplicié comme une forme divine préexistante illustre bien l'énigme - sans analogie dans le monde antique - posée par l'origine de la christologie chrétienne primitive.
C'est cet énigme que s'efforce de résoudre la présente étude, en s'attachant au titre de "Fils de Dieu" dont l'origine et la signification sont particulièrement débattues. L'auteur montre que les impulsions décisives qui ont commandé le développement de la christologie, jusqu'à l'affirmation de la préexistence, de la co-création du monde par le Fils et de son envoi dans le monde, ne sont pas issues de quelques présupposés judaïques. Il apparaît ainsi que la christologie primitive, loin de se désagréger en un pluralisme d'ébauches disparates et contradictoires, présente une unité profonde en sa racine et une cohérence interne en son développement.
Avec sa maîtrise habituelle, Martin Hengel, professeur de Nouveau Testament et d'Antiquités judaïques à la Faculté protestante de Tübingen, réconcilie dans ce petit livre les exigences complémentaires du positivisme historique et de l'intérêt herméneutique.
Préface.
I. Le problème.
II. La solution.
III. Le témoignage de Paul.
IV. La thèse de l'école de l'histoire de la religion.
V. Le sens des mots et l'histoire de la religion.
VI. Le problème de la formation de la christologie primitive.
VII. Le fils dans l'épitre aux hébreux : le crucifié-et-glorifié.
VIII. Conclusions théologiques.JESUS , FILS DE DIEU [texte imprimé] / Martin HENGEL . - Paris : CERF, 1977 . - 150 p.. - (LECTIO DIVINA; 94) .
Catégories : CHRISTOLOGIE
JESUSNote de contenu : A la Pâque de l'année 30, un juif galiléen fut cloué sur une croix à Jérusalem pour des visées messianiques. Environ vingt-cinq ans plus tard l'ancien Pharisien Paul adresse une lettre à la communauté messianique de Philippes et il cite une hymne concernant ce même crucifié, qui le présente comme un être "de condition divine" qui s'est dépouillé du "rang qui l'égalait à Dieu" pour se faire homme et souffrir sur la croix la mort des esclaves. La discordance qui existe entre la mort ignominieuse d'un criminel politique juif et cette confession de foi qui présente le supplicié comme une forme divine préexistante illustre bien l'énigme - sans analogie dans le monde antique - posée par l'origine de la christologie chrétienne primitive.
C'est cet énigme que s'efforce de résoudre la présente étude, en s'attachant au titre de "Fils de Dieu" dont l'origine et la signification sont particulièrement débattues. L'auteur montre que les impulsions décisives qui ont commandé le développement de la christologie, jusqu'à l'affirmation de la préexistence, de la co-création du monde par le Fils et de son envoi dans le monde, ne sont pas issues de quelques présupposés judaïques. Il apparaît ainsi que la christologie primitive, loin de se désagréger en un pluralisme d'ébauches disparates et contradictoires, présente une unité profonde en sa racine et une cohérence interne en son développement.
Avec sa maîtrise habituelle, Martin Hengel, professeur de Nouveau Testament et d'Antiquités judaïques à la Faculté protestante de Tübingen, réconcilie dans ce petit livre les exigences complémentaires du positivisme historique et de l'intérêt herméneutique.
Préface.
I. Le problème.
II. La solution.
III. Le témoignage de Paul.
IV. La thèse de l'école de l'histoire de la religion.
V. Le sens des mots et l'histoire de la religion.
VI. Le problème de la formation de la christologie primitive.
VII. Le fils dans l'épitre aux hébreux : le crucifié-et-glorifié.
VIII. Conclusions théologiques.Réservation
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Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 153 V 5f Livre Fonds Moderne Adultes Disponible
Titre : LA PASSION Type de document : texte imprimé Auteurs : Claude BRUAIRE ; Martin HENGEL ; Jozef de KESEL ; et alii Editeur : Paris : JEAN DUCHESNE Année de publication : 1980 Collection : COMMUNIO num. 1 Importance : 96 p. Catégories : CREDO LA PASSION [texte imprimé] / Claude BRUAIRE ; Martin HENGEL ; Jozef de KESEL ; et alii . - Paris : JEAN DUCHESNE, 1980 . - 96 p.. - (COMMUNIO; 1) .
Catégories : CREDO Réservation
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Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 10685 F6f Livre Fonds Moderne Adultes Disponible
