Détail de l'auteur
Auteur Alain Galonnier |
Documents disponibles écrits par cet auteur
Affiner la recherche
Lettre sur l'Incarnation du verbe / Pourquoi un Dieu-homme / Anselme de Canterbery (saint)
Titre : Lettre sur l'Incarnation du verbe / Pourquoi un Dieu-homme Type de document : texte imprimé Auteurs : Anselme de Canterbery (saint), Auteur ; Michel CORBIN, Traducteur ; Alain Galonnier, Traducteur Editeur : Paris : CERF Année de publication : 1988 Importance : 495p ISBN/ISSN/EAN : 978-2-204-02773-1 Langues : Français (fre) Note de contenu : Si tu veux savoir la vraie nécessité de tout ce que Christ a fait et souffert, sache que tout fut par nécessité parce que lui-même a voulu. Nulle nécessité n’a jamais précédé sa volonté... Personne ne lui a pris son âme, mais lui-même l’a déposée et prise de nouveau parce qu’il eut « pouvoir de déposer son âme et de la prendre à nouveau » (Jn 10, 18) comme lui-même le dit (II CDH c. XVII). Ces lignes qui terminent le "Cur Deus Homo" (1098) montrent que satisfaire Dieu n’est pas autre chose que répondre, par une libre donation de soi, à l’Amour toujours plus grand, qui librement se donne comme Amour donné sans réserve. Seul cet Amour qui va « jusqu’au bout » (Jn 13, 2) de lui-même est "tel que plus grand ne se puisse penser." Lettre sur l'Incarnation du verbe / Pourquoi un Dieu-homme [texte imprimé] / Anselme de Canterbery (saint), Auteur ; Michel CORBIN, Traducteur ; Alain Galonnier, Traducteur . - Paris : CERF, 1988 . - 495p.
ISBN : 978-2-204-02773-1
Langues : Français (fre)
Note de contenu : Si tu veux savoir la vraie nécessité de tout ce que Christ a fait et souffert, sache que tout fut par nécessité parce que lui-même a voulu. Nulle nécessité n’a jamais précédé sa volonté... Personne ne lui a pris son âme, mais lui-même l’a déposée et prise de nouveau parce qu’il eut « pouvoir de déposer son âme et de la prendre à nouveau » (Jn 10, 18) comme lui-même le dit (II CDH c. XVII). Ces lignes qui terminent le "Cur Deus Homo" (1098) montrent que satisfaire Dieu n’est pas autre chose que répondre, par une libre donation de soi, à l’Amour toujours plus grand, qui librement se donne comme Amour donné sans réserve. Seul cet Amour qui va « jusqu’au bout » (Jn 13, 2) de lui-même est "tel que plus grand ne se puisse penser." Réservation
Réserver ce document
Exemplaires (1)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 57415 S 2 Livre Fonds Moderne Philosophie Disponible