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Titre : COMMENT JESUS A-T-IL VECU SA MORT ? Type de document : texte imprimé Auteurs : Heinz SCHUERMANN Editeur : Paris : CERF Année de publication : 1977 Collection : LECTIO DIVINA num. 93 Importance : 187 p. Catégories : PASSION Note de contenu : Tout homme est obligé d'affronter, plus ou moins lucidement, sa propre mort, et celle-ci lui est d'autant plus personnelle que sa vie a été plus authentique et plus riche. Quand on songe à ce que fut sa vie, on ne peut s'empêcher de penser que Jésus a affronté la mort dans une attitude d'authenticité et de don de soi tout à fait uniques. Cette mort nous offre l'exemple le plus haut qu'on puisse imaginer d'une attitude humaine ouverte sur la transcendance, sur Dieu.
La foi affirme davantage encore sur la mort de Jésus. Elle assure qu'en tant que mort du Fils "livré" par le Père, du Fils qui se "livra" lui-même, celle mort fut, d'une manière exceptionnelle, une mort "salutaire" et la plus personnelle qui soit, et en même temps la révélation de l'amour de Dieu.
Peut-on dégager les fondements scripturaires de cette affirmation ?
En quatre études mettant en oeuvre une méthode originale qui cherche à comprendre les paroles et les actions de Jésus à partir du contexte dans lequel s'est joué son destin, l'auteur se propose de vérifier la tradition oré-pascale sur l'attitude de Jésus devant sa mort (1), de rendre intelligible et vraisemblable le don que Jésus a fait de lui-même dans l'Eucharistie (2), de montrer que cet abaissement de Jésus est la règle déterminante de la vie morale (3) et qu'il est une réalité décisive pour l'avenir (4).
Heinz Schürmann, professeur de Nouveau Testament à la faculté catholique d'Erfurt, est l'un des maîtres de l'exégèse allemande d'aujourd'hui. Il est l'auteur du commentaire le plus important de l'évangile de saint Luc.
Introduction : Le thème de la Croix redevient actuel.
Chapitre I. - comment Jésus a-t-il affronté et compris sa mort ? Réflexions critiques sur la méthode.
Chapitre II. - La survie de la cause de Jésus dans le repas après Pâques. La continuité des signes dans la discontinuité des temps.
Chapitre III. - "La loi du Christ" (Gal 6,2). Le comportement et la parole de Jésus comme norme morale suprême et définitive d'après saint Paul.
Chapitre IV. - Perspectives : Le Christ "proexistant" sera-t-il au coeur de la foi de demain ? Méditation théologique.COMMENT JESUS A-T-IL VECU SA MORT ? [texte imprimé] / Heinz SCHUERMANN . - Paris : CERF, 1977 . - 187 p.. - (LECTIO DIVINA; 93) .
Catégories : PASSION Note de contenu : Tout homme est obligé d'affronter, plus ou moins lucidement, sa propre mort, et celle-ci lui est d'autant plus personnelle que sa vie a été plus authentique et plus riche. Quand on songe à ce que fut sa vie, on ne peut s'empêcher de penser que Jésus a affronté la mort dans une attitude d'authenticité et de don de soi tout à fait uniques. Cette mort nous offre l'exemple le plus haut qu'on puisse imaginer d'une attitude humaine ouverte sur la transcendance, sur Dieu.
La foi affirme davantage encore sur la mort de Jésus. Elle assure qu'en tant que mort du Fils "livré" par le Père, du Fils qui se "livra" lui-même, celle mort fut, d'une manière exceptionnelle, une mort "salutaire" et la plus personnelle qui soit, et en même temps la révélation de l'amour de Dieu.
Peut-on dégager les fondements scripturaires de cette affirmation ?
En quatre études mettant en oeuvre une méthode originale qui cherche à comprendre les paroles et les actions de Jésus à partir du contexte dans lequel s'est joué son destin, l'auteur se propose de vérifier la tradition oré-pascale sur l'attitude de Jésus devant sa mort (1), de rendre intelligible et vraisemblable le don que Jésus a fait de lui-même dans l'Eucharistie (2), de montrer que cet abaissement de Jésus est la règle déterminante de la vie morale (3) et qu'il est une réalité décisive pour l'avenir (4).
Heinz Schürmann, professeur de Nouveau Testament à la faculté catholique d'Erfurt, est l'un des maîtres de l'exégèse allemande d'aujourd'hui. Il est l'auteur du commentaire le plus important de l'évangile de saint Luc.
Introduction : Le thème de la Croix redevient actuel.
Chapitre I. - comment Jésus a-t-il affronté et compris sa mort ? Réflexions critiques sur la méthode.
Chapitre II. - La survie de la cause de Jésus dans le repas après Pâques. La continuité des signes dans la discontinuité des temps.
Chapitre III. - "La loi du Christ" (Gal 6,2). Le comportement et la parole de Jésus comme norme morale suprême et définitive d'après saint Paul.
Chapitre IV. - Perspectives : Le Christ "proexistant" sera-t-il au coeur de la foi de demain ? Méditation théologique.Réservation
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Titre : LA CRUCIFIXTION DANS L'ANTIQUITE ET LA FOLIE DU MESSAGE DE LA CROIX Type de document : texte imprimé Auteurs : Martin HENGEL Editeur : Paris : CERF Année de publication : 1981 Collection : LECTIO DIVINA num. 105 Importance : 220 p. Catégories : Croix
PASSIONNote de contenu : L'habitude a peu à peu émoussé notre sensibilité, mais pour l'homme de l'Antiquité, la crucifixion était la « mors turpissima », à la fois le plus atroce et le plus infamant des supplices, celui que, dans l'Empire romain, on n'infligeait qu'aux esclaves, aux hors-la-loi ou aux rebelles des lointaines provinces.
Dans ce contexte, le message chrétien primitif sur le Messie crucifié était véritablement un scandale — une pierre d'achoppement — au point que certains milieux chrétiens (les Docètes) tentèrent d'en éliminer la réalité.
Pour la première fois, grâce à cette étude , nous avons accès directement à l'ensemble des textes d'origine grecque ou latine qui témoignent de la façon dont l'Antiquité comprenait la crucifixion.
Après une analyse historique, l'auteur nous montre, en une seconde partie plus théologique, comment est née l'idée même de mort expiatoire — idée dont on retrouve des analogies chez les Grecs et les Romains, mais qui, liée à l'annonce de la résurrection, forme la radicale nouveauté de la prédication de l'Évangile.
Introduction : "Mors turpissima crucis".
Première partie. - La crucifixion dans l'Antiquité.
Chapitre I. - La "folie" du Fils de Dieu crucifié.
Chapitre II. - Prométhée et Dionysios : le Dieu "crucifié" et le Dieu "crucifiant".
Chapitre III. - Le docétisme ou l'élimination de la "folie" de la croix.
Chapitre IV. - La crucifixion : forme d'exécution "barbare" de la plus haute cruauté.
Chapitre V. - La crucifixion : supplice suprême chez les Romains.
Chapitre VI. - La crucifixion et les citoyens romains.
Chapitre VII. - La crucifixion comme châtiment des étrangers séditieux, des criminels et des brigands.
Chapitre VIII. - Le supplice des esclaves.
Chapitre IX. - Le crucifié comme martyr national et la terminologie métaphorique et philosophique.
Chapitre X. - La crucifixion dans le monde de langue grecque.
Chapitre XI. - La crucifixion chez les Juifs.
Chapitre XII. - Récapitulation.
Deuxième partie. - La mort expiatoire de Jésus par "substitution".
Chapitre I. - Question préliminaire d'histoire des religions.
Chapitre II. - L'origine de l'interprétation rédemptrice de la mort de Jésus.
Abréviations.
Bibliographie.LA CRUCIFIXTION DANS L'ANTIQUITE ET LA FOLIE DU MESSAGE DE LA CROIX [texte imprimé] / Martin HENGEL . - Paris : CERF, 1981 . - 220 p.. - (LECTIO DIVINA; 105) .
Catégories : Croix
PASSIONNote de contenu : L'habitude a peu à peu émoussé notre sensibilité, mais pour l'homme de l'Antiquité, la crucifixion était la « mors turpissima », à la fois le plus atroce et le plus infamant des supplices, celui que, dans l'Empire romain, on n'infligeait qu'aux esclaves, aux hors-la-loi ou aux rebelles des lointaines provinces.
Dans ce contexte, le message chrétien primitif sur le Messie crucifié était véritablement un scandale — une pierre d'achoppement — au point que certains milieux chrétiens (les Docètes) tentèrent d'en éliminer la réalité.
Pour la première fois, grâce à cette étude , nous avons accès directement à l'ensemble des textes d'origine grecque ou latine qui témoignent de la façon dont l'Antiquité comprenait la crucifixion.
Après une analyse historique, l'auteur nous montre, en une seconde partie plus théologique, comment est née l'idée même de mort expiatoire — idée dont on retrouve des analogies chez les Grecs et les Romains, mais qui, liée à l'annonce de la résurrection, forme la radicale nouveauté de la prédication de l'Évangile.
Introduction : "Mors turpissima crucis".
Première partie. - La crucifixion dans l'Antiquité.
Chapitre I. - La "folie" du Fils de Dieu crucifié.
Chapitre II. - Prométhée et Dionysios : le Dieu "crucifié" et le Dieu "crucifiant".
Chapitre III. - Le docétisme ou l'élimination de la "folie" de la croix.
Chapitre IV. - La crucifixion : forme d'exécution "barbare" de la plus haute cruauté.
Chapitre V. - La crucifixion : supplice suprême chez les Romains.
Chapitre VI. - La crucifixion et les citoyens romains.
Chapitre VII. - La crucifixion comme châtiment des étrangers séditieux, des criminels et des brigands.
Chapitre VIII. - Le supplice des esclaves.
Chapitre IX. - Le crucifié comme martyr national et la terminologie métaphorique et philosophique.
Chapitre X. - La crucifixion dans le monde de langue grecque.
Chapitre XI. - La crucifixion chez les Juifs.
Chapitre XII. - Récapitulation.
Deuxième partie. - La mort expiatoire de Jésus par "substitution".
Chapitre I. - Question préliminaire d'histoire des religions.
Chapitre II. - L'origine de l'interprétation rédemptrice de la mort de Jésus.
Abréviations.
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Titre : JESUS DEVANT SA PASSION Type de document : texte imprimé Auteurs : Marcel BASTIN Editeur : Paris : CERF Année de publication : 1976 Collection : LECTIO DIVINA num. 92 Importance : 188 p. Catégories : PASSION Note de contenu : La Croix fut-elle pour Jésus un destin absurde ou lui a-t-il donné un sens ? Dans un article retentissant, R. Bultmannn il y a quelques années, prétendait que l'exégète et l'historien ne sauraient en décider, que le Jésus de l'histoire demeurait inaccessible.
Marcel Bastin n'estime pas pour sa part que l'exégète et historien soient acculés à un tel aveu d'ignorance. Appliquant au donné évangélique les critères d'historicité proposés par la critique récente, il se propose dans ce livre de scruter de quelque manière la conscience messianique de Jésus à l'heure suprême de sa mission. Après avoir fixé le cadre socio-religieux dans lequel Jésus a accompli sa mission, l'auteur montre comment Jésus a situé sa propre mort dans la tradition de la mort des prophètes et de son baptême. L'analyse des paroles eucharistiques montre que Jésus a donné à sa fin tragique la valeur d'un sacrifice expiatoire, sceau de l'Alliance nouvelle. Enfin, par l'analyse des annonces de la Passion, on voit comment, dans sa strate la plus primitive, le récit évangélique se rattache au grand courant apocalyptique.
Cet ouvrage est une nouvelle et importante contribution aux recherches actuelle sur le Jésus de l'histoire.
Docteur en médecine de l'Université de Louvain, licencié en théologie et docteur en sciences religieuses de l'université de Strasbourg, Marcel Bastin est actuellement vicaire à Liège.
Table des abréviations.
Introduction.
Chapitre I. - L'attente messianique au temps de Jésus.
Chapitre II. - Dans la ligne des prophètes.
Chapitre III. - La mort rédemptrice.
Chapitre IV. - L'annonce.
Conclusions.
Index.JESUS DEVANT SA PASSION [texte imprimé] / Marcel BASTIN . - Paris : CERF, 1976 . - 188 p.. - (LECTIO DIVINA; 92) .
Catégories : PASSION Note de contenu : La Croix fut-elle pour Jésus un destin absurde ou lui a-t-il donné un sens ? Dans un article retentissant, R. Bultmannn il y a quelques années, prétendait que l'exégète et l'historien ne sauraient en décider, que le Jésus de l'histoire demeurait inaccessible.
Marcel Bastin n'estime pas pour sa part que l'exégète et historien soient acculés à un tel aveu d'ignorance. Appliquant au donné évangélique les critères d'historicité proposés par la critique récente, il se propose dans ce livre de scruter de quelque manière la conscience messianique de Jésus à l'heure suprême de sa mission. Après avoir fixé le cadre socio-religieux dans lequel Jésus a accompli sa mission, l'auteur montre comment Jésus a situé sa propre mort dans la tradition de la mort des prophètes et de son baptême. L'analyse des paroles eucharistiques montre que Jésus a donné à sa fin tragique la valeur d'un sacrifice expiatoire, sceau de l'Alliance nouvelle. Enfin, par l'analyse des annonces de la Passion, on voit comment, dans sa strate la plus primitive, le récit évangélique se rattache au grand courant apocalyptique.
Cet ouvrage est une nouvelle et importante contribution aux recherches actuelle sur le Jésus de l'histoire.
Docteur en médecine de l'Université de Louvain, licencié en théologie et docteur en sciences religieuses de l'université de Strasbourg, Marcel Bastin est actuellement vicaire à Liège.
Table des abréviations.
Introduction.
Chapitre I. - L'attente messianique au temps de Jésus.
Chapitre II. - Dans la ligne des prophètes.
Chapitre III. - La mort rédemptrice.
Chapitre IV. - L'annonce.
Conclusions.
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Titre : LA PASSION DE JESUS SELON L'EVANGILE DE JEAN Type de document : texte imprimé Auteurs : Ignace de LA POTTERIE Editeur : Paris : CERF Année de publication : 1986 Collection : LIRE LA BIBLE num. 73 Importance : 212 p. Catégories : JEAN
PASSIONLA PASSION DE JESUS SELON L'EVANGILE DE JEAN [texte imprimé] / Ignace de LA POTTERIE . - Paris : CERF, 1986 . - 212 p.. - (LIRE LA BIBLE; 73) .
Catégories : JEAN
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Titre : PASSION DE NOTRE SEIGNEUR JESUS CHRIST Type de document : texte imprimé Auteurs : Roland MEYNET Editeur : Paris : CERF Année de publication : 1993 Collection : LIRE LA BIBLE num. 99 Importance : 232 p. ISBN/ISSN/EAN : 978-2-204-04893-4 Catégories : PASSION PASSION DE NOTRE SEIGNEUR JESUS CHRIST [texte imprimé] / Roland MEYNET . - Paris : CERF, 1993 . - 232 p.. - (LIRE LA BIBLE; 99) .
ISBN : 978-2-204-04893-4
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