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Auteur Jacqueline Rastoin |
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Source cachée / Edith STEIN
Titre : Source cachée : oeuvres spirituelles Type de document : texte imprimé Auteurs : Edith STEIN, Auteur ; Cécile Rastoin, Traducteur ; Jacqueline Rastoin, Traducteur ; Didier-Marie GOLAY, Présentateur Editeur : Paris : CERF Année de publication : 1998 Autre Editeur : Genève : AD SOLEM Importance : 344p ISBN/ISSN/EAN : 978-2-204-06096-7 Langues : Français (fre) Note de contenu : La quête de la vérité conduisit Edith Stein de la philosophie à la vie religieuse, de Husserl aux maîtres du Carmel. Avant d'entrer dans le silence de la contemplation, le Dieu de son enfance avait pris le visage de Jésus-Christ, et l'Être anonyme des philosophes s'était révélé comme l'Amour infini de la Trinité, source cachée de la vie de tout être créé. C'est à cette source que veulent conduire les textes réunis dans ce volume des « Œuvres spirituelles ». Edith Stein met d'abord en lumière la façon dont la prière chrétienne, liturgique et privée, s'enracine dans la liturgie d'Israël et se greffe sur le dialogue silencieux du Christ avec son Père, puis elle pose son regard sur la vie de quatre figures mystiques féminines : sainte Élisabeth de Hongrie (1207-1233), sainte Thérèse d'Avila (Espagne, 1515-1582), sainte Thérèse-Marguerite du Cœur de Jésus (Italie, 1747-1770), sœur Marie-Aimée de Jésus (France, 1839-1874). Par ces biographies spirituelles, c'est l'œuvre multiforme de l'Esprit Saint qu'Edith Stein veut illustrer, avant d'approfondir le sens de la vocation religieuse dans une série de méditations sur les vœux de chasteté, de pauvreté et d'obéissance menées à la lumière de la Règle du Carmel et de ses maîtres Thérèse d'Avila et Jean de la Croix. Trois dialogues terminent ce recueil. Autour des thèmes de l'abandon à Dieu, de l'illumination baptismale et de l'intercession — illustrée par la reine Esther venue inviter la prieure du Carmel à prier au moment où les griffes nazies se referment sur le peuple juif –, ces textes présentent chacun un aspect de l'itinéraire spirituel de sœur Thérèse-Bénédicte de la Croix : juive, philosophe et carmélite, que l'Église donne en modèle non seulement aux chrétiens, mais à tous ceux, hommes et femmes de bonne volonté, en quête de la vérité. Source cachée : oeuvres spirituelles [texte imprimé] / Edith STEIN, Auteur ; Cécile Rastoin, Traducteur ; Jacqueline Rastoin, Traducteur ; Didier-Marie GOLAY, Présentateur . - Paris : CERF : Genève : AD SOLEM, 1998 . - 344p.
ISBN : 978-2-204-06096-7
Langues : Français (fre)
Note de contenu : La quête de la vérité conduisit Edith Stein de la philosophie à la vie religieuse, de Husserl aux maîtres du Carmel. Avant d'entrer dans le silence de la contemplation, le Dieu de son enfance avait pris le visage de Jésus-Christ, et l'Être anonyme des philosophes s'était révélé comme l'Amour infini de la Trinité, source cachée de la vie de tout être créé. C'est à cette source que veulent conduire les textes réunis dans ce volume des « Œuvres spirituelles ». Edith Stein met d'abord en lumière la façon dont la prière chrétienne, liturgique et privée, s'enracine dans la liturgie d'Israël et se greffe sur le dialogue silencieux du Christ avec son Père, puis elle pose son regard sur la vie de quatre figures mystiques féminines : sainte Élisabeth de Hongrie (1207-1233), sainte Thérèse d'Avila (Espagne, 1515-1582), sainte Thérèse-Marguerite du Cœur de Jésus (Italie, 1747-1770), sœur Marie-Aimée de Jésus (France, 1839-1874). Par ces biographies spirituelles, c'est l'œuvre multiforme de l'Esprit Saint qu'Edith Stein veut illustrer, avant d'approfondir le sens de la vocation religieuse dans une série de méditations sur les vœux de chasteté, de pauvreté et d'obéissance menées à la lumière de la Règle du Carmel et de ses maîtres Thérèse d'Avila et Jean de la Croix. Trois dialogues terminent ce recueil. Autour des thèmes de l'abandon à Dieu, de l'illumination baptismale et de l'intercession — illustrée par la reine Esther venue inviter la prieure du Carmel à prier au moment où les griffes nazies se referment sur le peuple juif –, ces textes présentent chacun un aspect de l'itinéraire spirituel de sœur Thérèse-Bénédicte de la Croix : juive, philosophe et carmélite, que l'Église donne en modèle non seulement aux chrétiens, mais à tous ceux, hommes et femmes de bonne volonté, en quête de la vérité. Réservation
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Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 56862 G 10 Livre Fonds Moderne Adultes Disponible Vie d'une famille juive / Edith STEIN
Titre : Vie d'une famille juive : 1891-1942 Type de document : texte imprimé Auteurs : Edith STEIN, Auteur ; Cécile Rastoin, Traducteur ; Jacqueline Rastoin, Traducteur ; Didier-Marie GOLAY, Annotateur ; Olivier de BERRANGER, Préfacier, etc. Editeur : Paris : CERF Année de publication : 2012 Autre Editeur : Genève : AD SOLEM Importance : 635p ISBN/ISSN/EAN : 978-2-204-08653-0 Prix : 52€ Langues : Français (fre) Note de contenu : Edith Stein prend la plume en 1933 pour rassembler les souvenirs de sa mère déjà octogénaire et apporter son propre témoignage sur la vie d'une famille juive. Comme elle le souligne dans son avant-propos, elle n'entend pas faire une apologie du judaïsme, mais raconter avec fidélité ce qu'il lui a été donné de vivre en tant que fille d'Israël: " Car, nous qui avons grandi dans le judaïsme, nous avons le devoir de porter témoignage." Le lien profond qui l'unissait à ceux qu'elle aimait, à son peuple, à tous ceux dont elle fait mémoire et qu'elle dépeint magistralement dans ce livre, donne relief et fraîcheur à son récit, tandis qu'elle évoque ses années d'enfance et de jeunesse, jusqu'à sa thèse de philosophie brillamment soutenue en 1916. C'est tout le judaïsme allemand de ces années d'avant la Première Guerre mondiale, la floraison de l'école phénoménologique de Göttingen, la terrible aventure de la guerre qu'elle décrit avec réalisme et sobriété. À travers ces personnes dont elle sait être proche, et qu'elle sait comprendre avec ce don d'Einfühlung, d'amitié et d'intuition des êtres qui était le sien, elle nous donne accès à son propre cheminement intérieur. Comme l'écrit en préface Mgr de Berranger : " Sous sa plume, rien de mièvre, rien d'alambiqué. A travers ses histoires de famille, c'est aussi son propre chemin de maturité de femme qu'elle a su raconter avec une rare clarté. N'est-il pas émouvant de penser qu'Edith Stein a écrit ce chef-d'œuvre inachevé durant son noviciat au carmel, alors que l'histoire qu'elle y raconte n'est explicitement religieuse que lorsqu'elle décrit avec gourmandise la célébration familiale des fêtes juives ?" De fait, Edith Stein est déjà carmélite dans l'âme lorsqu'elle commence à écrire cette chronique d'une famille juive comme un manifeste de solidarité à l'égard de son peuple persécuté. Situation incroyablement paradoxale et douloureuse en ces heures sombres de l'Histoire, dans laquelle l'a placée sa fidélité sans démenti à ce qu'elle perçoit intérieurement. Témoignage étonnant, bouleversant, inachevé. Vie d'une famille juive s'interrompt brusquement : la Gestapo vient arrêter Edith Stein le 2 août 1942 pour la déporter vers Auschwitz-Birkenau avec sa sœur Rosa. Vie d'une famille juive : 1891-1942 [texte imprimé] / Edith STEIN, Auteur ; Cécile Rastoin, Traducteur ; Jacqueline Rastoin, Traducteur ; Didier-Marie GOLAY, Annotateur ; Olivier de BERRANGER, Préfacier, etc. . - Paris : CERF : Genève : AD SOLEM, 2012 . - 635p.
ISBN : 978-2-204-08653-0 : 52€
Langues : Français (fre)
Note de contenu : Edith Stein prend la plume en 1933 pour rassembler les souvenirs de sa mère déjà octogénaire et apporter son propre témoignage sur la vie d'une famille juive. Comme elle le souligne dans son avant-propos, elle n'entend pas faire une apologie du judaïsme, mais raconter avec fidélité ce qu'il lui a été donné de vivre en tant que fille d'Israël: " Car, nous qui avons grandi dans le judaïsme, nous avons le devoir de porter témoignage." Le lien profond qui l'unissait à ceux qu'elle aimait, à son peuple, à tous ceux dont elle fait mémoire et qu'elle dépeint magistralement dans ce livre, donne relief et fraîcheur à son récit, tandis qu'elle évoque ses années d'enfance et de jeunesse, jusqu'à sa thèse de philosophie brillamment soutenue en 1916. C'est tout le judaïsme allemand de ces années d'avant la Première Guerre mondiale, la floraison de l'école phénoménologique de Göttingen, la terrible aventure de la guerre qu'elle décrit avec réalisme et sobriété. À travers ces personnes dont elle sait être proche, et qu'elle sait comprendre avec ce don d'Einfühlung, d'amitié et d'intuition des êtres qui était le sien, elle nous donne accès à son propre cheminement intérieur. Comme l'écrit en préface Mgr de Berranger : " Sous sa plume, rien de mièvre, rien d'alambiqué. A travers ses histoires de famille, c'est aussi son propre chemin de maturité de femme qu'elle a su raconter avec une rare clarté. N'est-il pas émouvant de penser qu'Edith Stein a écrit ce chef-d'œuvre inachevé durant son noviciat au carmel, alors que l'histoire qu'elle y raconte n'est explicitement religieuse que lorsqu'elle décrit avec gourmandise la célébration familiale des fêtes juives ?" De fait, Edith Stein est déjà carmélite dans l'âme lorsqu'elle commence à écrire cette chronique d'une famille juive comme un manifeste de solidarité à l'égard de son peuple persécuté. Situation incroyablement paradoxale et douloureuse en ces heures sombres de l'Histoire, dans laquelle l'a placée sa fidélité sans démenti à ce qu'elle perçoit intérieurement. Témoignage étonnant, bouleversant, inachevé. Vie d'une famille juive s'interrompt brusquement : la Gestapo vient arrêter Edith Stein le 2 août 1942 pour la déporter vers Auschwitz-Birkenau avec sa sœur Rosa. Réservation
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Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 55816 G 10 Livre Fonds Moderne Adultes Disponible