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"le juste vivra de sa foi" (Habacuc 2,4) / Matthieu ARNOLD
Titre : "le juste vivra de sa foi" (Habacuc 2,4) Type de document : texte imprimé Auteurs : Matthieu ARNOLD, Directeur de publication, rédacteur en chef ; Gilbert DAHAN, Directeur de publication, rédacteur en chef ; Annie NOBLESSE-ROCHER, Auteur Editeur : Paris : CERF Année de publication : 2011 Collection : LECTIO DIVINA Sous-collection : Etudes d'histoire de l'exégèse num. 246 Importance : 145p ISBN/ISSN/EAN : 978-2-204-09709-3 Prix : 15€ Langues : Français (fre) Note de contenu : Tant dans la tradition juive que dans la tradition chrétienne, le verset d'Habacuc 2, 4, "Le juste vivra de sa foi", est célèbre et constamment cité. Son utilisation dans les épîtres pauliniennes confirme d'ailleurs son importance.
Du côté chrétien, il vient appuyer les réflexions sur la justification par la foi ; du côté juif, tout en permettant de souligner le rôle fondamental de la foi (emunah), il pose le rapport de celle-ci avec la Loi.
Cinq étapes de l'histoire de son exégèse sont ici étudiées, depuis la tradition herméneutique du judaïsme ancien jusqu'à l'attention que porte l'exégèse juive contemporaine à l'importance des oeuvres, en passant par les Pères grecs et latins, les commentateurs chrétiens du Moyen Age et enfin Luther et Calvin. Ce parcours impressionnant montre la richesse du verset et l'impact qu'il a eu dans les différentes traditions d'interprétation.
Ce volume est issu de la troisième des "Journées bibliques" organisées par le Laboratoire d'études des monothéismes/Institut d'études augustiniennes (CNRS-EPHE Sciences religieuses-Paris IV) et le Groupe de recherches sur les non-conformistes religieux des XVIe et XVIIe siècles et l'histoire des protestantismes (GRENEP, faculté de théologie protestante de l'université de Strasbourg). Il fait partie d'une série consacrée à l'histoire de l'exégèse de la Bible.
Annie Noblesse-Rocher. - Avant-propos.
Thierry Legrand. - "Son interprétation concerne tous ceux qui pratiquent la Torah..." Relecture et interprétation d'Habacuc 2, 4 dans le Pesher d'Habacuc (1QpHab VII-VIII) et le Targum d'Habacuc.
Martine Dulaey. - Hababuc 2, 1-4 dans les premiers siècles du christianisme.
Gilbert Dahan. - Habacuc 2, 1-4 dans l'exégèse médiévale.
Annie Noblesse-Rocher. - Habacuc 2, 4 dans les commentaires des XVIe XVIIe siècles.
David Banon. - Emunah (foi) et loi. Une lecture juive de Habaquq 2, 4.
Liste des abréviations.
Ont participé à cet ouvrage.
Index scripturaire.
Index des auteurs anciens.
Index des auteurs contemporains."le juste vivra de sa foi" (Habacuc 2,4) [texte imprimé] / Matthieu ARNOLD, Directeur de publication, rédacteur en chef ; Gilbert DAHAN, Directeur de publication, rédacteur en chef ; Annie NOBLESSE-ROCHER, Auteur . - Paris : CERF, 2011 . - 145p. - (LECTIO DIVINA. Etudes d'histoire de l'exégèse, ISSN 0750-1919; 246) .
ISBN : 978-2-204-09709-3 : 15€
Langues : Français (fre)
Note de contenu : Tant dans la tradition juive que dans la tradition chrétienne, le verset d'Habacuc 2, 4, "Le juste vivra de sa foi", est célèbre et constamment cité. Son utilisation dans les épîtres pauliniennes confirme d'ailleurs son importance.
Du côté chrétien, il vient appuyer les réflexions sur la justification par la foi ; du côté juif, tout en permettant de souligner le rôle fondamental de la foi (emunah), il pose le rapport de celle-ci avec la Loi.
Cinq étapes de l'histoire de son exégèse sont ici étudiées, depuis la tradition herméneutique du judaïsme ancien jusqu'à l'attention que porte l'exégèse juive contemporaine à l'importance des oeuvres, en passant par les Pères grecs et latins, les commentateurs chrétiens du Moyen Age et enfin Luther et Calvin. Ce parcours impressionnant montre la richesse du verset et l'impact qu'il a eu dans les différentes traditions d'interprétation.
Ce volume est issu de la troisième des "Journées bibliques" organisées par le Laboratoire d'études des monothéismes/Institut d'études augustiniennes (CNRS-EPHE Sciences religieuses-Paris IV) et le Groupe de recherches sur les non-conformistes religieux des XVIe et XVIIe siècles et l'histoire des protestantismes (GRENEP, faculté de théologie protestante de l'université de Strasbourg). Il fait partie d'une série consacrée à l'histoire de l'exégèse de la Bible.
Annie Noblesse-Rocher. - Avant-propos.
Thierry Legrand. - "Son interprétation concerne tous ceux qui pratiquent la Torah..." Relecture et interprétation d'Habacuc 2, 4 dans le Pesher d'Habacuc (1QpHab VII-VIII) et le Targum d'Habacuc.
Martine Dulaey. - Hababuc 2, 1-4 dans les premiers siècles du christianisme.
Gilbert Dahan. - Habacuc 2, 1-4 dans l'exégèse médiévale.
Annie Noblesse-Rocher. - Habacuc 2, 4 dans les commentaires des XVIe XVIIe siècles.
David Banon. - Emunah (foi) et loi. Une lecture juive de Habaquq 2, 4.
Liste des abréviations.
Ont participé à cet ouvrage.
Index scripturaire.
Index des auteurs anciens.
Index des auteurs contemporains.Réservation
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Exemplaires (1)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 55579 V11f Livre Fonds Moderne Adultes Disponible LE LANGAGE DE LA FOI DANS L'ECRITURE ET DANS LE MONDE ACTUEL / Henri CAZELLES
Titre : LE LANGAGE DE LA FOI DANS L'ECRITURE ET DANS LE MONDE ACTUEL Type de document : texte imprimé Auteurs : Henri CAZELLES ; Jean DELORME ; Louis DEROUSSEAUX ; collectif Editeur : Paris : CERF Année de publication : 1972 Collection : LECTIO DIVINA num. 72 Importance : 226 p. Catégories : LANGAGE DE LA FOI Note de contenu : Les exégètes abordent la Bible pour l'expliquer selon son sens originel à l'aide des méthodes critiques. Les catéchètes se réfèrent à la Bible pour en actualiser les données, en vue de l'éducation de la foi. Où et comment leurs démarches se rencontrent-elles ? Comment les uns et les autres participent-ils à l'élaboration du "langage de la foi" ?
Tels sont les thèmes de trois journées d'étude, où ces problèmes ont été discutés librement pour préparer une collaboration plus fructueuse. Signalons en particulier la contribution de J. Delorme sur "le langage de la résurrection" : au carrefour de l'exégèse classique et de la linguistique contemporaine, elle retiendra l'attention de tous ceux qui ont pour fonction d'annoncer l'Evangile.
Henri Cazelles : Liminaire.
Première journée : Les itinéraires.
I. Itinéraire d'un catéchiste,
par Roger Macé.
II. Un itinéraire exégétique,
par Louis Derousseaux.
III. Table ronde,
animée par Jean Delorme.
Deuxième journée : L'élaboration du langage de la foi
I. Elaboration d'un langage de la foi dans un groupe,
par Jean Le Du.
II. La résurrection de Jésus dans le langage du Nouveau Testament,
par Jean Delorme.
III. Table ronde,
animée par Jacques Audinet.
Troisième journée.
Débat entre exégètes, catéchètes et théologiens, avec le concours de Claude Geffré et de Maurice Vidal.LE LANGAGE DE LA FOI DANS L'ECRITURE ET DANS LE MONDE ACTUEL [texte imprimé] / Henri CAZELLES ; Jean DELORME ; Louis DEROUSSEAUX ; collectif . - Paris : CERF, 1972 . - 226 p.. - (LECTIO DIVINA; 72) .
Catégories : LANGAGE DE LA FOI Note de contenu : Les exégètes abordent la Bible pour l'expliquer selon son sens originel à l'aide des méthodes critiques. Les catéchètes se réfèrent à la Bible pour en actualiser les données, en vue de l'éducation de la foi. Où et comment leurs démarches se rencontrent-elles ? Comment les uns et les autres participent-ils à l'élaboration du "langage de la foi" ?
Tels sont les thèmes de trois journées d'étude, où ces problèmes ont été discutés librement pour préparer une collaboration plus fructueuse. Signalons en particulier la contribution de J. Delorme sur "le langage de la résurrection" : au carrefour de l'exégèse classique et de la linguistique contemporaine, elle retiendra l'attention de tous ceux qui ont pour fonction d'annoncer l'Evangile.
Henri Cazelles : Liminaire.
Première journée : Les itinéraires.
I. Itinéraire d'un catéchiste,
par Roger Macé.
II. Un itinéraire exégétique,
par Louis Derousseaux.
III. Table ronde,
animée par Jean Delorme.
Deuxième journée : L'élaboration du langage de la foi
I. Elaboration d'un langage de la foi dans un groupe,
par Jean Le Du.
II. La résurrection de Jésus dans le langage du Nouveau Testament,
par Jean Delorme.
III. Table ronde,
animée par Jacques Audinet.
Troisième journée.
Débat entre exégètes, catéchètes et théologiens, avec le concours de Claude Geffré et de Maurice Vidal.Réservation
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Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 134 V2 Livre Fonds Moderne Adultes Disponible LAZARE / Alain MARCHADOUR
Titre : LAZARE : histoire d'un récit, récits d'une histoire Type de document : texte imprimé Auteurs : Alain MARCHADOUR Editeur : Paris : CERF Année de publication : 1988 Collection : LECTIO DIVINA num. 132 Importance : 290 p. Catégories : LAZARE Note de contenu : Le personnage de Lazare est l'un des plus énigmatiques des évangiles. Le miracle en lui-même constitue le signe le plus extraordinaire qui soit attribué à Jésus. De plus, l'ampleur du récit, la place des développements théologiques, le nombre des personnages et leur intimité avec Jésus en font un récit unique dans toute la littérature biblique. Cette étude aborde d'abord la préhistoire du récit telle que les spécialistes ont voulu la reconstituer. Puis elle s'attarde sur le récit lui-même dans sa logique narrative et sa signification littéraire et théologique. Au-delà du récit, existe un référent : est-il possible de reconstituer l'événement à la base du récit ? L'exégèse historique a tenté d'en reconstituer la genèse, mais face à cette approche génétique, une lecture synchronique aboutit à des résultats notablement différents. Le choix de la méthode apparaît ainsi comme un présupposé lourd de conséquences, déjà porteur d'une interprétation du texte lui-même.
Par ailleurs, un récit continue à vivre après sa mise par écrit ; l'histoire de la lecture doit avoir sa place dans l'étude des textes. Lazare n'a cessé d'être actualisé dans la tradition de l'Église, symbole du croyant au commencement de sa vie de baptisé et tout au long de son expérience de pécheur, jusqu'au terme de son parcours. Par delà cette interprétation, une lecture moderne a détaché Lazare du récit biblique pour en faire l'image de l'homme qui a touché aux frontières de la mort et en est revenu avec une totale lucidité.
Préface.
Introduction.
Première partie. - Le texte et sa genèse.
Chapitre premier. - Le texte et sa traduction.
Chapitre II. - Le texte et sa préhistoire.
Deuxième partie. - Le texte et son contexte.
Chapitre III. - Le texte et la logique narrative.
Chapitre IV. - Le texte dans son contexte.
Chapitre V. - Les acteurs.
Chapitre VI. - Les champs sémantiques.
Troisième partie. - Le texte et l'histoire.
Chapitre VII. - Le réel du texte.
Chapitre VIII. - Le monde du texte.
Quatrième partie. - La postérité du texte.
Chapitre IX. - La lecture des Pères de l'Eglise.
Chapitre X. - Vers le retour de Lazare.
Chapitre XI. - Quand Lazare prend la parole.
Conclusion.
Bibliographie.
Index des citations bibliques.
Ancienne littérature chrétienne.
Pseudépigraphes.
Index des auteurs cités.LAZARE : histoire d'un récit, récits d'une histoire [texte imprimé] / Alain MARCHADOUR . - Paris : CERF, 1988 . - 290 p.. - (LECTIO DIVINA; 132) .
Catégories : LAZARE Note de contenu : Le personnage de Lazare est l'un des plus énigmatiques des évangiles. Le miracle en lui-même constitue le signe le plus extraordinaire qui soit attribué à Jésus. De plus, l'ampleur du récit, la place des développements théologiques, le nombre des personnages et leur intimité avec Jésus en font un récit unique dans toute la littérature biblique. Cette étude aborde d'abord la préhistoire du récit telle que les spécialistes ont voulu la reconstituer. Puis elle s'attarde sur le récit lui-même dans sa logique narrative et sa signification littéraire et théologique. Au-delà du récit, existe un référent : est-il possible de reconstituer l'événement à la base du récit ? L'exégèse historique a tenté d'en reconstituer la genèse, mais face à cette approche génétique, une lecture synchronique aboutit à des résultats notablement différents. Le choix de la méthode apparaît ainsi comme un présupposé lourd de conséquences, déjà porteur d'une interprétation du texte lui-même.
Par ailleurs, un récit continue à vivre après sa mise par écrit ; l'histoire de la lecture doit avoir sa place dans l'étude des textes. Lazare n'a cessé d'être actualisé dans la tradition de l'Église, symbole du croyant au commencement de sa vie de baptisé et tout au long de son expérience de pécheur, jusqu'au terme de son parcours. Par delà cette interprétation, une lecture moderne a détaché Lazare du récit biblique pour en faire l'image de l'homme qui a touché aux frontières de la mort et en est revenu avec une totale lucidité.
Préface.
Introduction.
Première partie. - Le texte et sa genèse.
Chapitre premier. - Le texte et sa traduction.
Chapitre II. - Le texte et sa préhistoire.
Deuxième partie. - Le texte et son contexte.
Chapitre III. - Le texte et la logique narrative.
Chapitre IV. - Le texte dans son contexte.
Chapitre V. - Les acteurs.
Chapitre VI. - Les champs sémantiques.
Troisième partie. - Le texte et l'histoire.
Chapitre VII. - Le réel du texte.
Chapitre VIII. - Le monde du texte.
Quatrième partie. - La postérité du texte.
Chapitre IX. - La lecture des Pères de l'Eglise.
Chapitre X. - Vers le retour de Lazare.
Chapitre XI. - Quand Lazare prend la parole.
Conclusion.
Bibliographie.
Index des citations bibliques.
Ancienne littérature chrétienne.
Pseudépigraphes.
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Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 22943 V 5 Livre Fonds Moderne Adultes Disponible La lecture, chemin d'alliance / Anne Pénicaud
Titre : La lecture, chemin d'alliance : des Philippiens d'hier à ceux d'aujourd'hui Type de document : texte imprimé Auteurs : Anne Pénicaud, Auteur Editeur : Paris : CERF Collection : LECTIO DIVINA num. 272 Importance : 645p ISBN/ISSN/EAN : 978-2-204-12944-2 Prix : 35€ Langues : Français (fre) Résumé : « Voici un ouvrage qui prendra à contrepied toutes les personnes qui estiment qu’un texte est porteur d’un sens, et que le travail du lecteur est de le découvrir. Or, penser ainsi respecte peu la complexité de l’acte de lecture. Un texte est un don fait au lecteur. Le lecteur le reçoit. Entre les deux se passe une rencontre productrice de sens, différent d’un lecteur à l’autre » (M. Quesnel, Préface).
Les textes bibliques offrent ce don à quiconque leur ouvre l’oreille. Considérables gisements de parole, ils n’ont jamais cessé d’engendrer leurs lecteurs. Il y a donc lieu de se mettre à l’écoute, et d’inventer de nouveaux chemins comme celui que trace ici Anne Pénicaud. Cet approfondissement d’un passage de l’Épître aux Philippiens, situé au carrefour entre analyse biblique, recherche universitaire et pratique ecclésiale, permet de goûter la saveur d’une lecture qui s’emploie à réactualiser la parole du texte. Un parcours de la méthode accompagne l’analyse et en expose les repères historiques. En amont, une interrogation traverse le livre : l’impact du texte paulinien sur des lecteurs contemporains, ses conditions et ses enjeux.
Anne Pénicaud, agrégée de lettres classiques, docteur en théologie et en lettres, a dirigé le Centre pour l’analyse du discours religieux (CADIR) et la revue Sémiotique et Bible. Elle est la co-auteur d’une méthode d’apprentissage du grec biblique (éditions Profac – Lyon, 2017), et anime depuis vingt-cinq ans des groupes de lecture biblique.La lecture, chemin d'alliance : des Philippiens d'hier à ceux d'aujourd'hui [texte imprimé] / Anne Pénicaud, Auteur . - Paris : CERF, [s.d.] . - 645p. - (LECTIO DIVINA; 272) .
ISBN : 978-2-204-12944-2 : 35€
Langues : Français (fre)
Résumé : « Voici un ouvrage qui prendra à contrepied toutes les personnes qui estiment qu’un texte est porteur d’un sens, et que le travail du lecteur est de le découvrir. Or, penser ainsi respecte peu la complexité de l’acte de lecture. Un texte est un don fait au lecteur. Le lecteur le reçoit. Entre les deux se passe une rencontre productrice de sens, différent d’un lecteur à l’autre » (M. Quesnel, Préface).
Les textes bibliques offrent ce don à quiconque leur ouvre l’oreille. Considérables gisements de parole, ils n’ont jamais cessé d’engendrer leurs lecteurs. Il y a donc lieu de se mettre à l’écoute, et d’inventer de nouveaux chemins comme celui que trace ici Anne Pénicaud. Cet approfondissement d’un passage de l’Épître aux Philippiens, situé au carrefour entre analyse biblique, recherche universitaire et pratique ecclésiale, permet de goûter la saveur d’une lecture qui s’emploie à réactualiser la parole du texte. Un parcours de la méthode accompagne l’analyse et en expose les repères historiques. En amont, une interrogation traverse le livre : l’impact du texte paulinien sur des lecteurs contemporains, ses conditions et ses enjeux.
Anne Pénicaud, agrégée de lettres classiques, docteur en théologie et en lettres, a dirigé le Centre pour l’analyse du discours religieux (CADIR) et la revue Sémiotique et Bible. Elle est la co-auteur d’une méthode d’apprentissage du grec biblique (éditions Profac – Lyon, 2017), et anime depuis vingt-cinq ans des groupes de lecture biblique.Réservation
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Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 60555 V15 Livre Fonds Moderne Adultes Disponible LES LETTRES DANS LA BIBLE ET DANS LA LITTERATURE / Louis PANIER
Titre : LES LETTRES DANS LA BIBLE ET DANS LA LITTERATURE Type de document : texte imprimé Auteurs : Louis PANIER Editeur : Paris : CERF Année de publication : 1999 Collection : LECTIO DIVINA num. 181 Importance : 337 p. Note de contenu : La lettre est un travail d'écriture presque banal et quotidien. Mais le discours épistolaire est un genre que 'lon rencontre dans la littérature et dans la Bible. Certaines oeuvres de la littérature, certains livres de la Bible contiennent des lettres, les citent ou les reproduisent ; des lettres "privées" sont entrées en littérature, des oeuvres littéraires ont emprunté la forme de la correspondance épistolaire ; une bonne partie du Nouveau Testament est composé de lettres...
Qu'a donc de si particulier la Bible pour entrer ainsi dans le champ de la littérature et de la Bible ? Que s'y manifeste-t-il de si fondamental pour que la relation épistolaire serve de modèle à des théories de l'interprétation des textes considérés, à l'instar des lettres, comme des messages adressés ? Les études rassemblées dans ce livre explorent ces questions. Elles reproduisent les communications données lors d'un colloque international organisé à Lyon en juillet 1996 par le Centre pour l'analyse du discours religieux (CADIR) de l'Université catholique de Lyon, avec la collaboration de l'Université Lumière-Lyon 2 et du CNRS.
Au long des quatre parties de cet ouvrage, il s’agit de décrire le discours épistolaire et d’y observer tout particulièrement le travail de l’énonciation : comment dans le texte, dans l’écriture de la lettre s’indiquent le rôle et la place de la parole, tant du côté du scripteur que du côté du lecteur ? La lettre ne serait-elle pas ainsi l’expérience même de la parole en écriture ? Question fondamentale sans doute autour autour de laquelle se retrouvent et dialoguent littéraires, biblistes et sémioloticiens, et dont on trouvera les échos dans les études consacrées ici à la Bible, Ancien et Nouveau Testament, et à différents témoins de la littérature.
Avant-propos, par Louis Panier.
Première partie. - La lettre comme discours, énonciation et lecture.
Jean Delorme : Une pratique de lecture et d'analyse des lettres du Nouveau Testament.
Bruno Gelas : La lettre et le désir.
Jacques Fontanille : La lettre. Praxis, champ discursif et stratégies de lecture. A propos des lettres dans Les Faux-Monnayeurs.
Anne Fortin : Les conditions de la rencontre entre herméneutique et sémiotique. A propos des structures de l'énonciation dans une lettre de Marie de l'Incarnation.
Deuxième partie. - L'épistolaire dans la littérature biblique.
Paul Beauchamp : La lettre à la divinité ou le psaume comme ex-voto. Des "sefârîm" de Is 37, 14 (2 R 19, 14) au "miketâv" de Is 38, 9.
Jean-Pierre Lémonon : L'écrit de Paul aux Rpmains est-il vraiment une lettre ?
Pierre-Marie Beaude : Saint Paul ou l'impossible effacement d'un encombrant épistolier.
Chantal Reynier : L'investissement passionnel de Paul dans l'épître aux Romains.
Olivette Genest : La lettre de Paul aux Philippéens, figure de l'épistémê chrétienne.
Jean-Yves Thériault : Quel sujet d'énonciation pour la lettre aux Colossiens ?
Apocalypse. Les lettres aux sept Eglises.
Troisième partie. - L'épistolaire dans la littérature ancienne.
Jean Calloud : Les lettres d'Ignace d'Antioche. De a langue à la lettre.
Catherine Salles : Les lettres de Sénèques à Lucilius. De l'épître-exhortation à la lettre-confession.
Arnold Smeets : Une lettre comme don. Une lecture sémiotique de la lettre de Grégoire dans les "Moralia in Job".
Kestutis Nastopka : Des lettres à l'origine des lettres lituaniennes.
Quatrième partie. - Le genre épistolaire en littérature.
Fernand Roy : De l'apprentissage de l'écriture selon La Princesse de Clèves. Essai sur la valeur littéraire.
Michel Le Guern : Pascal et le genre de la lettre.
Pierre de Gaulmyn : La violence apostolique de Paul Claudel dans sa correspondance (1904-1914).
"Quand j'écris des lettres, c'est pour...". Extraits de textes écrits par des élèves de seconde avec M.-C. Giroud-Panier.
Liste des auteurs.LES LETTRES DANS LA BIBLE ET DANS LA LITTERATURE [texte imprimé] / Louis PANIER . - Paris : CERF, 1999 . - 337 p.. - (LECTIO DIVINA; 181) .
Note de contenu : La lettre est un travail d'écriture presque banal et quotidien. Mais le discours épistolaire est un genre que 'lon rencontre dans la littérature et dans la Bible. Certaines oeuvres de la littérature, certains livres de la Bible contiennent des lettres, les citent ou les reproduisent ; des lettres "privées" sont entrées en littérature, des oeuvres littéraires ont emprunté la forme de la correspondance épistolaire ; une bonne partie du Nouveau Testament est composé de lettres...
Qu'a donc de si particulier la Bible pour entrer ainsi dans le champ de la littérature et de la Bible ? Que s'y manifeste-t-il de si fondamental pour que la relation épistolaire serve de modèle à des théories de l'interprétation des textes considérés, à l'instar des lettres, comme des messages adressés ? Les études rassemblées dans ce livre explorent ces questions. Elles reproduisent les communications données lors d'un colloque international organisé à Lyon en juillet 1996 par le Centre pour l'analyse du discours religieux (CADIR) de l'Université catholique de Lyon, avec la collaboration de l'Université Lumière-Lyon 2 et du CNRS.
Au long des quatre parties de cet ouvrage, il s’agit de décrire le discours épistolaire et d’y observer tout particulièrement le travail de l’énonciation : comment dans le texte, dans l’écriture de la lettre s’indiquent le rôle et la place de la parole, tant du côté du scripteur que du côté du lecteur ? La lettre ne serait-elle pas ainsi l’expérience même de la parole en écriture ? Question fondamentale sans doute autour autour de laquelle se retrouvent et dialoguent littéraires, biblistes et sémioloticiens, et dont on trouvera les échos dans les études consacrées ici à la Bible, Ancien et Nouveau Testament, et à différents témoins de la littérature.
Avant-propos, par Louis Panier.
Première partie. - La lettre comme discours, énonciation et lecture.
Jean Delorme : Une pratique de lecture et d'analyse des lettres du Nouveau Testament.
Bruno Gelas : La lettre et le désir.
Jacques Fontanille : La lettre. Praxis, champ discursif et stratégies de lecture. A propos des lettres dans Les Faux-Monnayeurs.
Anne Fortin : Les conditions de la rencontre entre herméneutique et sémiotique. A propos des structures de l'énonciation dans une lettre de Marie de l'Incarnation.
Deuxième partie. - L'épistolaire dans la littérature biblique.
Paul Beauchamp : La lettre à la divinité ou le psaume comme ex-voto. Des "sefârîm" de Is 37, 14 (2 R 19, 14) au "miketâv" de Is 38, 9.
Jean-Pierre Lémonon : L'écrit de Paul aux Rpmains est-il vraiment une lettre ?
Pierre-Marie Beaude : Saint Paul ou l'impossible effacement d'un encombrant épistolier.
Chantal Reynier : L'investissement passionnel de Paul dans l'épître aux Romains.
Olivette Genest : La lettre de Paul aux Philippéens, figure de l'épistémê chrétienne.
Jean-Yves Thériault : Quel sujet d'énonciation pour la lettre aux Colossiens ?
Apocalypse. Les lettres aux sept Eglises.
Troisième partie. - L'épistolaire dans la littérature ancienne.
Jean Calloud : Les lettres d'Ignace d'Antioche. De a langue à la lettre.
Catherine Salles : Les lettres de Sénèques à Lucilius. De l'épître-exhortation à la lettre-confession.
Arnold Smeets : Une lettre comme don. Une lecture sémiotique de la lettre de Grégoire dans les "Moralia in Job".
Kestutis Nastopka : Des lettres à l'origine des lettres lituaniennes.
Quatrième partie. - Le genre épistolaire en littérature.
Fernand Roy : De l'apprentissage de l'écriture selon La Princesse de Clèves. Essai sur la valeur littéraire.
Michel Le Guern : Pascal et le genre de la lettre.
Pierre de Gaulmyn : La violence apostolique de Paul Claudel dans sa correspondance (1904-1914).
"Quand j'écris des lettres, c'est pour...". Extraits de textes écrits par des élèves de seconde avec M.-C. Giroud-Panier.
Liste des auteurs.Réservation
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Exemplaires (1)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 38904 V8f Livre Fonds Moderne Adultes Disponible LA LITURGIE PENITENTIELLE DANS LA BIBLE / E. LIPINSKI
PermalinkLE LIVRE DE LA CONSOLATION D'ISRAËL / Jean STEINMANN
PermalinkLE LIVRE DE LA GENESE / Joseph CHAINE
PermalinkLE LIVRE DE JOB / Jean STEINMANN
PermalinkLIVRES DE SAMUEL ET RECITS DE RESURRECTION / Philippe LEFEBVRE
PermalinkLA LOI DANS L'UN ET L'AUTRE TESTAMENT / Camille FOCANT
PermalinkLES LOIS DU PENTATEUQUE / Olivier ARTUS
PermalinkLA MANIFESTATION NATURELLE DE DIEU D'APRES L'ECRITURE / A.-M. DUBARLE
PermalinkMarc, le lion du désert / Jacques CAZEAUX
PermalinkMarie de Nazareth au regard des chrétiens du premier siècle / Charles PERROT
PermalinkLA MERE DE JESUS DANS LE NOUVEAU TESTAMENT / John Mc HUGH
PermalinkLE MESSIANISME ROYAL / Joseph COPPENS
PermalinkLE MIDRASH D'HABACUC / Matthias DELCOR
PermalinkLES MINISTERES AUX ORIGINES DE L'EGLISE / André LEMAIRE
PermalinkLE MONDE SYMBOLIQUE DE SAINT JEAN / René KIEFFER
PermalinkLe monothéisme biblique / Eberhard BONS
PermalinkDE LA MORT A LA VIE ETERNELLE / Pierre GRELOT
PermalinkLA MULTIPLICATION DES PAINS ET L'EUCHARISTIE / Jean-Marie VAN CANGH
PermalinkLE MYSTERE DU NOM / Albert-Marie BESNARD
PermalinkLE MYSTERE DU TEMPLE / Cardinal Yves-Marie CONGAR
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