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LE RELEVE DU MATIN / Henry de MONTHERLANT
Titre : LE RELEVE DU MATIN Type de document : texte imprimé Auteurs : Henry de MONTHERLANT, Auteur Editeur : S.E.P.E Résumé : Les morts vont vite, rappelle un dicton populaire. Des jeunes hommes tombés pendant la guerre de 1914-1918, combien ont laissé un souvenir? L'oubli n'est-il pas leur lot puisque, "n'ayant fait de mal à personne, ils n'ont pris place dans aucune vie" ? Cette remarque d'ironie amère, sur laquelle s'ouvre l'essai écrit en mémoire d'un "mort de dix-neuf ans, fait écho la conclusion du Concert dans un parc : " Les hommes, dans leur course, se passent l'un à l'autre l'indifférence. Ce n'est pas un flambeau. Mais c'est un pain, et qui permet de vivre. » On aurait pourtant tort de croire que dans ces pages rédigées de 1916 à 1920 Henry de Montherlant ait pour propos unique la révolte ou la résignation devant un destin qui fauche la jeunesse d'un pays à la fleur de l'âge. C'est cette jeunesse elle-même qu'il veut célébrer.
Dans l'adolescent, mieux encore dans l'enfant, il voit celui qui est l'espérance de la nation - l'être pur à qui tout est encore possible, le seul digne d'assumer la relève.
L'influence de l'éducation, en particulier celle de son collège, fait l'objet de quelques-uns des meilleurs morceaux » d'une prose qui porte déjà la griffe du grand écrivain.LE RELEVE DU MATIN [texte imprimé] / Henry de MONTHERLANT, Auteur . - [S.l.] : S.E.P.E, [s.d.].
Résumé : Les morts vont vite, rappelle un dicton populaire. Des jeunes hommes tombés pendant la guerre de 1914-1918, combien ont laissé un souvenir? L'oubli n'est-il pas leur lot puisque, "n'ayant fait de mal à personne, ils n'ont pris place dans aucune vie" ? Cette remarque d'ironie amère, sur laquelle s'ouvre l'essai écrit en mémoire d'un "mort de dix-neuf ans, fait écho la conclusion du Concert dans un parc : " Les hommes, dans leur course, se passent l'un à l'autre l'indifférence. Ce n'est pas un flambeau. Mais c'est un pain, et qui permet de vivre. » On aurait pourtant tort de croire que dans ces pages rédigées de 1916 à 1920 Henry de Montherlant ait pour propos unique la révolte ou la résignation devant un destin qui fauche la jeunesse d'un pays à la fleur de l'âge. C'est cette jeunesse elle-même qu'il veut célébrer.
Dans l'adolescent, mieux encore dans l'enfant, il voit celui qui est l'espérance de la nation - l'être pur à qui tout est encore possible, le seul digne d'assumer la relève.
L'influence de l'éducation, en particulier celle de son collège, fait l'objet de quelques-uns des meilleurs morceaux » d'une prose qui porte déjà la griffe du grand écrivain.Réservation
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Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 43371 X23 Livre Fonds Moderne Littérature Disponible