| Titre : |
FAUST SOCIN : ou le christianisme sans sacrifice |
| Type de document : |
texte imprimé |
| Auteurs : |
Jean-Pierre Osier, Auteur |
| Editeur : |
Pars : CERF |
| Année de publication : |
1996 |
| Collection : |
Patrimoine |
| Importance : |
250 p. |
| Format : |
23x14 |
| ISBN/ISSN/EAN : |
978-2-204-05318-1 |
| Langues : |
Français (fre) |
| Résumé : |
Le socinianisme constitue pour la culture religieuse de l'époque classique le danger principal : répudiant la divinité du Christ et donc l'Incarnation, il ouvre la voie à la transformation du christianisme en une religion rationnelle.
En fait, Faust Socin, père du système, est bien éloigné du rationalisme. Il oppose à la doctrine catholique et protestante de l'apaisement du courroux divin par le sacrifice gratuit du Fils, sa thèse d'un Dieu qui refuse tout sacrifice. Le Christ a remporté la victoire sur la mort et pénétré le Ciel, mais ce n'est qu'un homme. Il faut croire en lui et non pas observer des pratiques condamnables comme la messe. La critique socinienne contient des éléments rationalistes, mais ceux ci n'épuisent pas une doctrine dont le fondement reste la foi et elle seule |
FAUST SOCIN : ou le christianisme sans sacrifice [texte imprimé] / Jean-Pierre Osier, Auteur . - Paris (29, bd Latour-Maubourg, Paris, 75) : Les éditions du Cerf, 1996 . - 250 p. ; 23x14. - ( Patrimoine) . ISBN : 978-2-204-05318-1 Langues : Français ( fre)
| Résumé : |
Le socinianisme constitue pour la culture religieuse de l'époque classique le danger principal : répudiant la divinité du Christ et donc l'Incarnation, il ouvre la voie à la transformation du christianisme en une religion rationnelle.
En fait, Faust Socin, père du système, est bien éloigné du rationalisme. Il oppose à la doctrine catholique et protestante de l'apaisement du courroux divin par le sacrifice gratuit du Fils, sa thèse d'un Dieu qui refuse tout sacrifice. Le Christ a remporté la victoire sur la mort et pénétré le Ciel, mais ce n'est qu'un homme. Il faut croire en lui et non pas observer des pratiques condamnables comme la messe. La critique socinienne contient des éléments rationalistes, mais ceux ci n'épuisent pas une doctrine dont le fondement reste la foi et elle seule |
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